Transat : Mindelo- Rivière Sens
(Gualdeloupe) 6 Dec au 20 Dec
Et oui, cette fameuse « transat »
est maintenant derrière nous ! Nous : Filip, Fabrice,
Bruno et moi !
Tellement de personnes ont déjà
exercés leurs talents d'écrivain sur cette page de vie que je ne
veux redire ce qui a déjà été décrit des centaines de fois.
Sûr que dans les moments positifs, il
y a les apparitions de dauphins, un aileron de requin, un bel oiseau
blanc en plein milieu de l'Atlantique, les superbes ciels étoilés
qui incitent aux pensées profondes, aux « souvenirs oubliés »
(Fab), 2 contacts avec des voiliers sympas en cours de traversée, de
longues parties de cartes, quelques fou rires et j'en passe.
Dans les aspects moins agréables, je
mettrai la houle en n°1 ; je m'attendais à une mer plutôt
confortable, mais Non ! Se laver, s'habiller, faire à manger,
la vaisselle,... Galère. Le moindre geste est plus compliqué et
prend 3X plus de temps et un certain nombre d'hématomes.
D'autre part, si la civilisation et ses
JT catastrophes ne nous ont pas manqués, quelques nouvelles de la
famille nous auraient fait plaisir.
Côté animation, les 3 derniers jours
de la transat se sont révélés intenses, notamment l'avant dernière
nuit où en quelques secondes le vent est monté à + de 45 Nds,....
merci Gégène, le pilote qui a tenu vaillamment le coup quand à sec
de toiles, moteur à 1800 tours nous nous sommes réfugiés à
l'intérieur. Les creux de 6 à 8 mètres me semblaient très
impressionnants quand le jour s'est levé sur une mer... agitée.
Encore un petit mot pour ces malheureux
poissons qui ont croisé notre route pour leur plus grand malheur.
Un certain nombre de jolis poissons
volants ont eu la stupidité d'atterrir sur nos passavants et d'y
trouver un funeste destin.
Quant aux poissons pêchés par Bruno,
ils ont atterris dans nos assiettes pour le plus grand plaisir des
gourmets. Daurades, bonites, Yahoo (thazar) qui ont fini en filets et
en darnes entre les mains expertes de Bruno, notre fin cuisinier.
Et au final ?
Tous les membres de l'équipage sont
heureux d'avoir vécu l'expérience que ce soit pour des raisons
d'expériences sur le plan technique ou sur le plan personnel. Cela
en valait la peine.
Cependant, c'est avec plaisir qu'au
lever du jour du 20 décembre, nous avons vu se dessiner les côtes
de Marie Galante.
Transat : Mindelo- Rivière Sens
(Gualdeloupe) 6 Dec au 20 Dec
Et oui, cette fameuse « transat »
est maintenant derrière nous ! Nous : Filip, Fabrice,
Bruno et moi !
Tellement de personnes ont déjà
exercés leurs talents d'écrivain sur cette page de vie que je ne
veux redire ce qui a déjà été décrit des centaines de fois.
Sûr que dans les moments positifs, il
y a les apparitions de dauphins, un aileron de requin, un bel oiseau
blanc en plein milieu de l'Atlantique, les superbes ciels étoilés
qui incitent aux pensées profondes, aux « souvenirs oubliés »
(Fab), 2 contacts avec des voiliers sympas en cours de traversée, de
longues parties de cartes, quelques fou rires et j'en passe.
Dans les aspects moins agréables, je
mettrai la houle en n°1 ; je m'attendais à une mer plutôt
confortable, mais Non ! Se laver, s'habiller, faire à manger,
la vaisselle,... Galère. Le moindre geste est plus compliqué et
prend 3X plus de temps et un certain nombre d'hématomes.
D'autre part, si la civilisation et ses
JT catastrophes ne nous ont pas manqués, quelques nouvelles de la
famille nous auraient fait plaisir.
Côté animation, les 3 derniers jours
de la transat se sont révélés intenses, notamment l'avant dernière
nuit où en quelques secondes le vent est monté à + de 45 Nds,....
merci Gégène, le pilote qui a tenu vaillamment le coup quand à sec
de toiles, moteur à 1800 tours nous nous sommes réfugiés à
l'intérieur. Les creux de 6 à 8 mètres me semblaient très
impressionnants quand le jour s'est levé sur une mer... agitée.
Encore un petit mot pour ces malheureux
poissons qui ont croisé notre route pour leur plus grand malheur.
Un certain nombre de jolis poissons
volants ont eu la stupidité d'atterrir sur nos passavants et d'y
trouver un funeste destin.
Quant aux poissons pêchés par Bruno,
ils ont atterris dans nos assiettes pour le plus grand plaisir des
gourmets. Daurades, bonites, Yahoo (thazar) qui ont fini en filets et
en darnes entre les mains expertes de Bruno, notre fin cuisinier.
Et au final ?
Tous les membres de l'équipage sont
heureux d'avoir vécu l'expérience que ce soit pour des raisons
d'expériences sur le plan technique ou sur le plan personnel. Cela
en valait la peine.
Cependant, c'est avec plaisir qu'au
lever du jour du 20 décembre, nous avons vu se dessiner les côtes
de Marie Galante.
