Après une courte escale à Doha au Quatar, j'arrive à Colombo à 8h10' un superbe lever de soleil sur l'océan Indien m'a souhaité la bienvenue.
Le bagage récupéré, me voilà au bureau de l'immigration car je n'ai pas de billet retour depuis ce beau pays. J'explique que je sortirai par Galle en voilier. J'avais déjà sollicité par le net un visa transit de quelques jours, mais en vain. Avec les copies de ma demande, on m'oriente vers le contrôle frontière où les passagers se font estampiller leur passeport.
Finalement, le préposé appelle un supérieur. Je raconte à nouveau mon histoire pour la 3ème fois. Il me demande si j'ai payé les 20 $ US via le net. Je lui réponds que non et lui dit que je peux payer maintenant. Il acquiesce de la tête. Je montre un billet de 20 € qu'il m'arrache presque des mains suivi d'un rapide cachet dans mon passeport et m'indique fermement le chemin de la sortie. Ambiance....
Paul est venu me chercher à l'aéroport qui se situe à environ 160 km au nord de Galle. Il est accompagné d'un voisin de ponton, François, qui attendait également des équipiers soit François et Françoise qui viennent de Paris.
La chaleur étouffante est au rendez-vous. Nous traversons Colombo et sa périphérie dans un brouhaha de klaxons pour celui qui passera le premier dans ces embouteillages. Nous arrivons vers 13h00 dans le port de Galle, qui est également un port militaire et une zone soumise au laisser-passer .
Je dois passer par un agent maritime, car je deviens un membre d'équipage étranger. Une nouvelle taxe est demandée. Ensuite pour obtenir le laisser passer, il faut passer par la douane et l'immigration. Ces bureaux se trouvent dans la zone et je suis dehors n'étant pas arrivé en bateau. Ok me dit l'agent dans un travel english difficilement exploitable, je peux aller chercher un laisser passer provisoire d'un jour. Il remplit encore des papiers et sollicite une nouvelle taxe. Cool non ?
Je passe le poste de contrôle, direction la douane. Dans le hall du bureau quelques anglais, tatoués aux gros bras, font l'inventaire de caisses d'armes et munitions. Des mercenaires qui embarquent sur un remorqueur rapide pour rejoindre un cargo traversant le Golfe d'Aden.
J'attends mon tour en m'imprégnant de l'atmosphère, tout en dévorant aux premières loges, ce film avec des barbouzes. Imaginez la scène dans une pièce où les murs défraîchis sont lilas, garnis de deux vieilles armoires métallique et un bureau qui a fait son temps. L'airco est en panne et un vieux ventilateur tourne bruyamment au milieu du plafond Le personnage principal, le douanier en uniforme.....
L'ère du papier est d'actualité, pas de machine à écrire, pas de photocopieuse ni de PC et encore moins d'imprimante.
Les formalités accomplies, je termine ce dédale de procédure par le bureau d'immigration. Le fonctionnaire me reçoit pieds nus. Je reçois le précieux sésame qui me permettra de circuler librement.
Je suis épuisé, il est presque 15h00. Nos voisins de ponton, Danielle et François nous reçoivent dans le super Maramu de 53 pieds pour un apéro suivi d'un bon repas.
Je m'installe ensuite sur Andante pour une micro sieste car Paul, bricoleur hors pair, vient de terminer son dog house rigide et le ménage fait un peu défaut.
Nous terminerons cette très très longue journée par un super resto branché sur la plage.
Le bagage récupéré, me voilà au bureau de l'immigration car je n'ai pas de billet retour depuis ce beau pays. J'explique que je sortirai par Galle en voilier. J'avais déjà sollicité par le net un visa transit de quelques jours, mais en vain. Avec les copies de ma demande, on m'oriente vers le contrôle frontière où les passagers se font estampiller leur passeport.
Finalement, le préposé appelle un supérieur. Je raconte à nouveau mon histoire pour la 3ème fois. Il me demande si j'ai payé les 20 $ US via le net. Je lui réponds que non et lui dit que je peux payer maintenant. Il acquiesce de la tête. Je montre un billet de 20 € qu'il m'arrache presque des mains suivi d'un rapide cachet dans mon passeport et m'indique fermement le chemin de la sortie. Ambiance....
Paul est venu me chercher à l'aéroport qui se situe à environ 160 km au nord de Galle. Il est accompagné d'un voisin de ponton, François, qui attendait également des équipiers soit François et Françoise qui viennent de Paris.
La chaleur étouffante est au rendez-vous. Nous traversons Colombo et sa périphérie dans un brouhaha de klaxons pour celui qui passera le premier dans ces embouteillages. Nous arrivons vers 13h00 dans le port de Galle, qui est également un port militaire et une zone soumise au laisser-passer .
Je dois passer par un agent maritime, car je deviens un membre d'équipage étranger. Une nouvelle taxe est demandée. Ensuite pour obtenir le laisser passer, il faut passer par la douane et l'immigration. Ces bureaux se trouvent dans la zone et je suis dehors n'étant pas arrivé en bateau. Ok me dit l'agent dans un travel english difficilement exploitable, je peux aller chercher un laisser passer provisoire d'un jour. Il remplit encore des papiers et sollicite une nouvelle taxe. Cool non ?
Je passe le poste de contrôle, direction la douane. Dans le hall du bureau quelques anglais, tatoués aux gros bras, font l'inventaire de caisses d'armes et munitions. Des mercenaires qui embarquent sur un remorqueur rapide pour rejoindre un cargo traversant le Golfe d'Aden.
J'attends mon tour en m'imprégnant de l'atmosphère, tout en dévorant aux premières loges, ce film avec des barbouzes. Imaginez la scène dans une pièce où les murs défraîchis sont lilas, garnis de deux vieilles armoires métallique et un bureau qui a fait son temps. L'airco est en panne et un vieux ventilateur tourne bruyamment au milieu du plafond Le personnage principal, le douanier en uniforme.....
L'ère du papier est d'actualité, pas de machine à écrire, pas de photocopieuse ni de PC et encore moins d'imprimante.
Les formalités accomplies, je termine ce dédale de procédure par le bureau d'immigration. Le fonctionnaire me reçoit pieds nus. Je reçois le précieux sésame qui me permettra de circuler librement.
Je suis épuisé, il est presque 15h00. Nos voisins de ponton, Danielle et François nous reçoivent dans le super Maramu de 53 pieds pour un apéro suivi d'un bon repas.
Je m'installe ensuite sur Andante pour une micro sieste car Paul, bricoleur hors pair, vient de terminer son dog house rigide et le ménage fait un peu défaut.
Nous terminerons cette très très longue journée par un super resto branché sur la plage.
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